L’Africa cybersecurity conference s’est ouvert ce 3 octobre dans la commune de Cocody. « La feuille de route de l’Afrique pour la 4ème révolution industrielle : transformation digital et cybersécurité » est le thème choisi. Pour sa quatrième édition, Africa cybersécurity conference prépare l’Afrique à la révolution numerique de 2030. Le monde connu plusieurs révolutions auxquelles l’Afrique
L’Africa cybersecurity conference s’est ouvert ce 3 octobre dans la commune de Cocody. « La feuille de route de l’Afrique pour la 4ème révolution industrielle : transformation digital et cybersécurité » est le thème choisi. Pour sa quatrième édition, Africa cybersécurity conference prépare l’Afrique à la révolution numerique de 2030.
Le monde connu plusieurs révolutions auxquelles l’Afrique est restée en marge. Cependant, elle compte bien se saisir de celle du numerique et de la technologie. Pour ce faire il faut la formation mais surtout combattre la cybercriminalité.
Africa cybersecurity conference : l’Afrique lutte contre la cybercriminalité
« Si nous avons l’espérance de vraiment participer à la 4ème révolution industrielle le travail c’est maintenant. Sans la cybercriminalité tout espoir d’un futur économique meilleur s’efface pour nous. Donc la feuille de route c’est de mettre en place aujourd’hui les éléments qui vont conditionner un futur moderne et un futur économiquement plus brillant qu’aujourd’hui ». Tel est l’explication qu’a donné Mack Coulibaly, Ceo de Jighi par ailleurs initiateur d’Africa cybersecurity conference.
Et de justifier le thème de cette année par la forte croissance de la population africaine qui pourrait avoisiner 1,6 milliard en 2030. Ensuite une population qu’il qualifie de jeune car près de 600 millions auront moins de 30 ans. Mais surtout le fait que cette frange soit accro au numerique pourrait être un atout pour le fonctionnement de l’Afrique. « imaginez si tout ce monde sait utiliser internet ? » a-t-il questionné.
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Pour WELL la représentante de l’Ambassade des Etats Unis en Côte d’Ivoire, cette initiative doit demeurer. « Car ce pays n’est pas seulement victime d’actes des cybercriminels. Mais c’est surtout que les hackers veulent en faire leur base ». Il faut donc les contrecarrer.
Raymonde Goudou Coffie Ministre de la Modernisation de l’Administration et de l’Innovation du Service Public partage cet avis. « L’Etat a une grande responsabilité dans la protection des données personnelles. Ceci aussi pour que chacun de nous puissions utiliser le numérique sans angoisse et sans crainte de voir ses données se retrouver sur la place publique. Ou alors utiliser à des fins criminelles. » a précisé la ministre au nom de l’Etat de Côte d’Ivoire. Africa cybersecurity conference fait également la part belle aux femmes à travers l’African women For Tech
Raissa Yao
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